Dune Quantique

Dune Quantique

Joy

Là, hasardé dans les lignes de vos overdoses!

Mes gants d'orage, rage de dents, -dedans, naufrages

Tu danses comme un monde qui finit. Des paupières, à peine une île, trop tôt mon prince.

Nos couloirs, un vin de soie qui m'allumme le sang. mais qui donc éteins quand tu dors

café soumission juste comme ma mission viens, le souffle pendu à d'urbaines tropiques

je trouve un carnaval, de celui qui miroite l'oeil de marbre des vents, j'apprivoise, je peux tout apprivoiser. Tout, sauf cet Amour infini, ma terreur. Ce qu'il y a d'interessant dans le sexe: la non-envie, le seul moteur pour, puis c'est un naufrage.

Plus prétentieux qu'un verre de vin. Des corbeilles et des crabes, du sable. Se tatouer tout ce qui n'existe pas, un petit chamane, mordu de la prunelle d'un cabot, allez viens, envole toi!

Quel luxe querelle. Tintant à nos oreilles, les poumons à gueuler un totem, un reptile, un trop. Et puis se rappeller, au milieu des minutes brisées, comme la brise est hagarde, pour ne pas penser à

torrent dans tes yeux

au tort hantant tes yeux

entends mes voeux

S'il-te-rêve, accueille-moi, à l'ombre de ton cou, rien ne sert de mourir, il faut pâlir à point, à poings fermés.

Tant d'enfants qui roulent dans des voitures, de chemins et de chaînes, de sourires et d'oeufs numériques, normal. C'est la joie de berçer les peintures, dans les reflets du verre, de contempler la serre, un petit temple (sous-verre) dans un musée miniature, géante danse.

Voilà l'astuce! Drapé de banalité, le lys n'a plus rien à montrer, désolé si je ris;, c'est l'horizon; car je vois les chevaux échanger des parfums de guerre.

 

- Dimanche 18 avril 2010

 



02/05/2010
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